Chers frères et sœurs,
Peter Wust (1884-1940) était un professeur à l’Université de Münster en Allemagne. Atteint d’un cancer, lorsque ses étudiants lui demandèrent un mot d’adieu, il écrivit : « Si vous deviez me demander, avant que je ne parte définitivement, si je ne connais pas une clé magique qui pourrait vous ouvrir la dernière porte de la sagesse, je vous répondrais : Bien sûr. Et cette clé magique n’est pas la réflexion, comme vous pourriez l’attendre d’un philosophe, mais la prière. La prière, prise comme l’ultime abandon à Dieu, rend silencieux… Les grandes choses de l’existence ne sont offertes qu’aux esprits qui prient ». Quel grand mot d’adieu !