« Le Seigneur est tendresse et pitié, lent à la colère et plein d’amour ;
il n’agit pas envers nous selon nos fautes, ne nous rend pas selon nos offenses. »
(Psaume 103,8.10)
Le récit de l’Ancien Testament été dépecé (une fois de plus) : d’une page superbe, on n’a gardé que quelques versets, juste pour montrer que David illustre le passage de l’évangile du jour. Je ne puis évidemment me résoudre à une telle instrumentalisation. Aussi, j’ai traduit tout le récit.
David et Saül (1 Samuel 26,2-25 – au lieu de 26,2.7-9.12-13.22-23)
[Le roi] Saül se leva, il descendit vers le désert de Zif, et avec lui, 3000 hommes, l’élite d’Israël, pour chercher David dans le désert de Zif. [Saül établit son camp sur la colline de Hakila qui est en face de la steppe près de la route. David résidait dans le désert et il vit que Saül était arrivé à sa poursuite dans le désert. David envoya alors des éclaireurs et il sut avec certitude que Saül était arrivé. David se leva et il arriva à l’endroit où Saül avait établi son camp. Il repéra l’endroit où Saül se couchait, ainsi qu’Abner Ben-Ner, le chef de son armée : Saül couchait au centre et la troupe campait autour de lui. David s’adressa à Ahimélek le Hittite et à Abishaï Ben-Tserouya, le frère de Joab, en disant : « Qui veut descendre avec moi vers Saül dans le camp ? » Abishaï répondit : « Moi ! Je descendrai avec toi »].